Si les parachutes de secours existent pour des avions de tourisme depuis les années 80, ils sont aussi proposés depuis peu sur des hélicoptères ayant une masse maximale au décollage inférieure à 750 kg.
Il existe deux systèmes, proposés chacun en option. L’un est placé au-dessus et l’autre en dessous du rotor. Regardons en premier le système placé en dessous du rotor.
EN DESSOUS DU ROTOR
La société tchèque Galaxy GRS spécialisée dans la fabrication de parachutes propose depuis 2011 un système pour plusieurs types d’hélicoptères. On peut citer le CH-7 Kompress italo-argentin, le Mosquito XE canadien ou encore le Dynali H3 belge.
En cas de problème, le pilote tire sur une poignée. Le parachute est alors propulsé sur le côté de l’appareil par un système pyrotechnique. Le parachute est relié à une sangle, ici en jaune à l’image.
Lorsqu’il s’ouvre, la sangle qui est attachée sur la cellule remonte et vient s’intercaler entre deux pales. Car cette sangle est reliée à son extrémité à une boucle en acier en dessous du rotor, qui suit son mouvement de rotation. Il n’y a donc aucun risque que la sangle soit sectionnée. Et pour éviter que le parachute ne vrille, la sangle dispose d’une petite pièce rotative en son milieu.
AU-DESSUS DU ROTOR
Le deuxième système est proposé par le constructeur italien Curti Aerospace pour son hélicoptère biplace Zefhir en cours de certification.
Le parachute se trouve dans ce compartiment juste au-dessus du rotor. Dès que le pilote active le système, le parachute est éjecté vers le haut là aussi par un système pyrotechnique. L’hélicoptère est alors retenu par une sangle attachée à l’intérieur du compartiment.
Pour être pleinement efficaces ces deux systèmes doivent néanmoins être déployés à une hauteur minimale de 150 m du sol.
Il existe deux systèmes, proposés chacun en option. L’un est placé au-dessus et l’autre en dessous du rotor. Regardons en premier le système placé en dessous du rotor.
EN DESSOUS DU ROTOR
La société tchèque Galaxy GRS spécialisée dans la fabrication de parachutes propose depuis 2011 un système pour plusieurs types d’hélicoptères. On peut citer le CH-7 Kompress italo-argentin, le Mosquito XE canadien ou encore le Dynali H3 belge.
En cas de problème, le pilote tire sur une poignée. Le parachute est alors propulsé sur le côté de l’appareil par un système pyrotechnique. Le parachute est relié à une sangle, ici en jaune à l’image.
Lorsqu’il s’ouvre, la sangle qui est attachée sur la cellule remonte et vient s’intercaler entre deux pales. Car cette sangle est reliée à son extrémité à une boucle en acier en dessous du rotor, qui suit son mouvement de rotation. Il n’y a donc aucun risque que la sangle soit sectionnée. Et pour éviter que le parachute ne vrille, la sangle dispose d’une petite pièce rotative en son milieu.
AU-DESSUS DU ROTOR
Le deuxième système est proposé par le constructeur italien Curti Aerospace pour son hélicoptère biplace Zefhir en cours de certification.
Le parachute se trouve dans ce compartiment juste au-dessus du rotor. Dès que le pilote active le système, le parachute est éjecté vers le haut là aussi par un système pyrotechnique. L’hélicoptère est alors retenu par une sangle attachée à l’intérieur du compartiment.
Pour être pleinement efficaces ces deux systèmes doivent néanmoins être déployés à une hauteur minimale de 150 m du sol.
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- RC Vrtulníky
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